Le Cimetière des poètes Lyrics & Tabs by La Swija

Le Cimetière des poètes

guitar chords lyrics

La Swija

Album : Au sourire levantPlayStop

REFRAIN
Diego
Je vois les colombes se déplumer,

ou les plus grands on jeter l'encre
leur souvenirs sur des boués
il y a plus de saisons c'est tous les jours l'automne et nos pages blanches se ramassent à la pelle comme ses feuilles mortent
vla le temps qui passe
voici les vies qui s'ecrit et derrières ces grillages l'éducation se détruit, ou ils enterrent nos savoirs et nos bohémes, pose une rose aux cimetières des poétes
Zino
Pourquoi laisser mourrir un art
à l'heure ou le savoir est une arme ou les poêtes me font du charme avec des sourires et des larmes d'encres
de l'encre posé sur de belle feuilles blanches
blanche comme cette hiver
dans un igloo mes premières lignes dansent
je danse sous une pluie de rime interminables

blanche comme cette hiver
dans un igloo mes premières lignes dansent
je danse sous une pluie de rime interminables
j'ai jetté l'imperméable pour un plaizir inoubliable
j'aime faire danser ma plume
escaladé les dunes de rime
voyagé pour jetter l'encre dans la plus belle des îles
nos poésies se dessine avec des chiffres et des lettres
un poête passionné écrit des kilomètres
j'ecrit pour penser les blessures intérieur
j'ai trop la joie pour laisser s'exprimé mes peines exterieurs
alors j'écrit pour me révolter,
j'ecrit pour m'évader
j'écrit des lignes de vers, alors
j'écrit ma liberté de pensé
sur toutes les feuilles mortent avec un coeur énorme
regarde il y a toujours un soleil caché derrière un coin sombre
REFRAIN
Diego
Je vois les colombes se déplumer,
ou les plus grands on jeter l'encre
leur souvenirs sur des boués
il y a plus de saison c'est tout les jours l'automne et nos pages blanches s'ramassent à la pelle comme ces feuilles mortent
vla le temps qui passe
voici les vies qui s'ecrit et derrières ces grillages l'éducation se détruit, où ils enterrent nos savoirs et nos bohémes, pose une rose aux cimetières des poétes

Mistral
Laisse moi t'expliquer, le peuple ne veut plus rien savoir
ils pensent qu'on inventa le feu avec un briquet
ils pensent peu, le cerveau lobotomisé
aujourd'hui on apprend a vivre, a respiré avec la télé
regarde sur chaques tombe, il y a des chrysantènes dessiné a l'encre vide
je balaye toutes les feuilles qui tombe
l'encre coule sous les canivos
hier encore un poête c'est coupé les veines avec son stylo
la planète clique sur internet pour être célèbre
tous les jours ou presque j'enterrent des textes dans un autre cortége funébre
quand viens le soir l'inspiration en deuil vétue de noir
regarde moi j'ai jamais vue un mouton qui aboye c'est vrai! c'est vrai
le savoir est une armé
tous ses cerceuils sont remplies de balles
la liberté est en larme, elle pleure inconssolable
elle meurt de solitude de peur qu'on l'oublie
qu'on ne sache plus l'écrire
le coeur n'arrive plus a se battre
la poésie est un fantôme, un esprit qui se cache
au bar des rimes disparue, un dernier verre, une dernière plume
ivre de peines pierro c'est pendue au clair de lune
REFRAIN
Diego
Je vois les colombes se déplumer,
ou les plus grands on jeter l'encre
leur souvenirs sur des boués
il y a plus de saisons c'est tout les jours l'automne et nos pages blanches se ramassent à la pelle comme ses feuilles mortent
vla le temps qui passe
voici les vies qui s'ecrit et derrieres ses grillages l'education se detruit, ou ils enterrent nos savoirs et nos bohémes, pose une rose aux cimetieres des poétes

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