11'30 contre les lois racistes Lyrics & Tabs by Cercle Rouge
11'30 contre les lois racistes
guitar chords lyrics
Je ne veux pas faire de politique, ma mission est artistique.
Mais quand je vois tout les trafics, on ne peut pas rester pacifique.
Les lois qu'ils veulent mettre en application Corroborent mon accusation.
Trop de mes semblables pètent les plombs Pris dans le tourbillon de l'immigration. Tout pays au monde expulsent ses immigrés clandestins,
C'est vrai, Mais la France a une autre responsabilité entre les mains.
Les faits sont historiques, Le peuple français a fait couler son sang
Pour écrire noir sur blanc les bases d'une démocratie en Occident.
Que les dirigeants s'en souviennent, attends je les illumine :
Droit d'asile pour les populations victimes ,de la misère du globe,
Combattre le racisme, le fascisme, le sexisme,
Et toutes sortes de xénophobes. Sans-papiers, donc sans droits,
Sans droits donc écrasés par les lois, La justice nique sa reum "dava"
Quand on voit ses desiderata au grand jour. Je reste lucide dans mon faubourg,
et garde un oeil sur les vautours.
Plus d'excuses, les gens savent très bien pour qui ils votent,
Quand on voit ses desiderata au grand jour. Je reste lucide dans mon faubourg,
et garde un oeil sur les vautours.
Plus d'excuses, les gens savent très bien pour qui ils votent,
52% de fils de putes à Vitrolles. Une fois pour toutes, c'est clair.
Idem pour ces ministre mielleux, vielleux, votant des lois pour séduire ce type d'électorat. Rappelle-toi qui s'est battu pour la France,
Couteau entre les dents, rampant, et rien dans la panse.
Tu collaborais à l'époque, chien, un toutou docile,
Heureux de voir les arabes débouler pour libérer ta ville. De Joxe à Debré,
je traque les fafs en costards, La gauche caviar,
la droite de la droite au pouvoir.
Moyen resistenza, effet Independenza, Tous égaux devant les lois, dixit Sentenza.
Je suis comme un pionnier, je porte très haut le flambeau,
J'en place une pour les frères au préau, Mes rêves d'autrefois disent au revoir.
Trop longtemps écrasé, étouffé, assoiffé je rêve de Revo,
Je dévore. Je tacle l'obstacle, enflamme les consciences qui s'évaporent.
Les porcs s'installent, s'étalent et tèjent le peuple Sur une étroite bordure.
Tout le monde sait que leur cœur est creux et plein d'ordures.
Ne voyez-vous pas jusqu'au pas de vos portes, je baise vos élites.
Je me sens plus fort, je prends des grades,
J'empoisonne avec le White Spirit la machine étatique,
Le rouleau compresseur qui est sans passions Contre vos passions.
Je prends position, au micro je mets des coups de pressions
Les bâtards veulent me pousser dans l'impasse, Que mon ombre perde ma trace.
Je reste dans la masse, l'arme efficace Et je crame le système comme du charasse.
Ne pète pas plus haut que ton cul, Si t'es membre des moins costauds.
Mais dis-toi mani tu déblatères, t'écrases tes frères
Comme des blattes à terre pour un drapeau. Devant la lumière, sombre sabre reste sobre, pour l'Octobre, dans les décombres.
Réfléchis, jamais ne fléchis, dans l'ombre dénombre tes soldats Qui ne tendent pas l'arme sur leurs tempes, n'est pas, y a pas.
J'casse trop, je reste fidèle a moi même, Trop de gens parlent,
l'argent parle, les agents parlent, Procréent trop d'infidèles s'opposant, m'imposant, Pour Karl je reste fidèle, Même au bout d'une corde, miséricorde,
j'casse trop. Moi je fracasse est-ce une histoire de paperasse Ou de couleur de peau, l'odeur de souffre de Méphisto, Les gens souffrent à cause des lois racistos. Galerianos signale les bastos, Les fréros poussés dans la Seine, trop de peine.
Mi-dor devant Vincennes je prends position,
Car là où passent les bâtards c'est la désolation qu'ils sèment.
Quoique tu fasses, le melting pot français est ainsi fait, Renoi, Céfran, Rabza, Spanish, Toss, Portuguesh, Kung Fu, Macaroni. Dans une cité ou pas, l'Etat nous dit zeubi, drôle de démocratie. Ménélik, Soldafada sur la dalle, encaissent gauche, droite, La tension extrême, l'issue bouchée, la porte trop étroite, direct. Ils veulent nous manipuler comme des poupées, Nous couper l'herbe sous le pied, De façon à ce que les gens ne puissent plus respirer. Nous sommes comme des parasites, surtout pas raciste, moi. Donc, tes textes, tes lois, réécris-les, c'est pas les bons j'crois. Nakk sent que ça sent le roussi pour ceux qui ont un accent, Lois Debré ou de force et les droits de l'homme sont absents. - C'est ça la France - Ici c'est dur d'entrer comme une forteresse, Dire qu'un cousin m'a dit, Nakk la France c'est fort je reste. La marque de la bête, ici, en l'occurence c'est l'étranger. Danger, danger, pour ceux qui par ce fait sont blasés, blasés.
Celui que le facho appelle bicot prend le micro,
Pour démentir les faux propos, stopper le complot.
Je jette un oeil sur le passé, vous pensiez l'effacer,
hélas l'histoire se répètent, revient nous offenser,
c'en est assez ! Ils jettent encore le discrédit sur mon ethnie,
Sur tout ce qui est physiquement différent. Mais l'arbi monte au créneau,
j'ai le droit de veto, Je ne mâcherai pas mes mots.
La réapparition des vieux démons d'un passé pesant
Conforte l'idée que j'ai sur ce racisme latent,
d'antan, Datant du temps des premières crises dans Un pays qui dans son total désarroi prétend Encore une fois nous sommes la cause de ce marasme,
Que c'est notre faute si le France est prise de crise d'asthme.
Mais qu'ils sachent que je serai toujours sur la brèche,
bref, Je combats le facho et tous ceux qui sont de mèche.
Vigipirate, carte de résident en danger, délation, France aux français, Guerre avec un grand G.
Qu'est-ce que tu veux que je fasse face à ces panneaux
Qui sont tellement sales qu'ils me font penser à Brigitte Bardot.
Qu'est-ce qu'il y a ? T'es choqué quand j'dis ça?
Ne bouge pas, j'ai pas fini, tu veux mon nom c'est Befa, L'impertinent, celui qui écrit une lettre au Président,
Que Skyrock, Fun et NRJ censurent impunément, évidemment.
Personne se sent concerné, surtout que dans le pire des cas
C'est mes enfants qui seront enfermés. Donc, fermez-la, une fois pour toutes,
mon téléphone est sur écoute, Pas de doutes, je bosse pas pour les scouts de France.
Je balance une idée révolutionnaire,
Debré hors-la-loi, Si tu l'attrapes, mets lui un coup pour moi,
Un coup pour nous, un coup pour tout ce qu'ils nous ont fait,
Un coup pour dire qu'un jour ils finiront par payer leurs méfaits.
En effet, je l'ai fait, si tu veux me faire un procès,
T'as droit qu'à un seul essai. Donc, essaie de laisser la vérité passer aux sujet des Français, De ce qu'ils ont fait dans le passé à nos pères et à nos mères.
C'est que quand je pense à ce que la France a pris à l'Afrique noire et à l'Algérie. De quoi tu nous parle aujourd'hui, 9-7,
De quelles dettes? De quels droits? De quels papiers? De quelles lois ? De quels immigrés ?
Jen' palé la dwoit NOB con tout neg ka poté dread tchok les abus Check le mike pok! Bim an tet zot si zot kwé cé jé mè cè ki ca Zafe l'éta ta la pi pa afé piès bagaye Ban piès moun toujou minm lan ka pwofité Ni sa ki ni, ni sa ki pa ni Les fruits défendus j'aimerais tellement, tellement, Oh oui, tellement y goûter, Goûter le luxe qui orne la vie paisible de ces enculés. Mais vers quel avenir allons-nous ?
Vers quelle société allons-nous ? A cette vitesse, autant se tej'.
Si le mot d'ordre est à la haine, Autant tout fracasser dès maintenant,
Ces fachos m'ont fâchée, ce système d'enfoirés Une fois de plus a semé la haine.
Le racisme pourrit l'esprit faible. Qui ça gêne, surtout pas l'Etat,
surtout pas Le Pen qui se démène.
Ces fils de ... veulent la guerre pour mieux frapper l'étranger. Restons fiers, restons fiers.
Donou djoloff moye délloussie di lène fatteli djeuf dji fi amone N'dakheté sa ma khole mo fessatti thie kaddou you bonne yi maye dégue téye thie sa ma khette thia fa gnouye wowé deuckou nassarane togone naye fi diamono 1945 Tirailleur Sénégalais amone nagne fi n'Dame téye seni dome ack séni seute gnou léne di torokhale di lene wowe immigrés fatté nagne dembeu ndéye sane fatté nagnou sou gnouye ahlale Sou gnouye niack dérrétte guigne léne toureulone n'Dame quigne léne adilone thie diamonoye thiossane
Je porte le grade de colonel pour qu'ils m'identifient,
A quand un matricule pour satisfaire à toutes leurs envies? C'est comme un safari qu'on prépare sciemment, consciemment, Une corde raide qu'on tend pour une pendaison d'antan, pour le même coupable, celui qui a pas la couleur locale.
Ils votent une loi, une deuxième loi, puis on s'en mordra les doigts.
Je ne veux pas que mes enfants grandissent comme moi dans le néant.
Si on les laisse faire ils nous préparent une troisième guerre.
Je veux plus être l'antilope, le lion qu'on chasse du bout de son canon.
Droite gauche même son de clairon qui sonne.
Si jamais ça pète, je deviendrai leur casse-tête.
Camouflage tout-terrain, armes au poing, comme dans une guerre de tranchées, déclenchée, orchestrée par l'hypocrite politique, cas typique d'une mise au point
Pour monter l'immigré contre son frère immigré , coulé, noyé dans une vieille stratégie nase, grillée par les jeunes de ma génération, qui garde un œil ouvert , conscients de l'attitude de la France pendant la deuxième guerre.
Nationale, radicale, faut que la réaction soit fatale, brutale, pour pas qu'on ait à se plaindre, geindre sans voix face aux sales lois qu'on a laissé passer sans s'opposer. Rébellion organisée pour le 3 Majeur flow.
Sleo encore une fois porte le drapeau.
Français , tu dors ! C'est la fin, tes politiciens vont trop vite, dès lors,
que des artistes s'unissent contre la fourberie et le vice, la piste suivie n'est plus strictement artistique, mais aussi politique. Soit les lois passent, quoi?
Elles sont dissimulées comme de juste 10 ans après on s'étonne que les immigrés dégustent. Soit elles sont appliquées avant d'être votées .
et on s'étonne ensuite que certains ne voient plus l'atteinte à leur liberté. Ah ça ira, ça ira, ça ira, ça fait 200 ans qu'on attend ça. Je doute, je pense, donc je suis. Force est de constater à travers nos yeux de banlieusards éclairés Que les avions Charter tentent à remplacer les bateaux de négriers .
C'est un dilemme individuel, ne pas se laisser abuser par le superficiel. J
ai vu, de mes yeux vu retourner au pays mon ami, qui n'en voulait plus. Méticuleusement, mais sûrement, les forces devraient s'unir pour aller de l'avant en sachant que ce qui n'est pas sous les feux de leur actualité peut être révoltant.
Les crimes d'Octobre 61 sont un exemple hurlant. Emigration - papiers + prison = Double peine perdue. Français , tu dors!
AZE : Pas un centime de sentiment. N'estime pas celui qui dit lutter pour la ce-Fran. Pas de logique, l'idéologie part en couilles, mais pour analyser, personne ne se mouille. Tout le monde trippe sur son bulletin de vote, trois mois après,
allez hop, coup de botte. Tu t'es fait bé-bar, mais tu l'as bien cherché. Et par ta faute le blâme s'installe dans la face des immigrés. Cesse de participer au massacre de la conscience. Les partis politiques bidons rendent amère la douce France. Pense à tes enfants, l'avenir est déjà flou. Azé s'est posé, maintenant c'est à toi de gé-bou.
Prends mes empreintes digitales, fiche-moi, quand je vais et viens, je m'en fiche, moi, des fichiers. J'en ai déjà plein, c'est pas d'hier que je subis des humiliations. les gouvernements changent mais il n'y a pas d'amélioration.
Je rêve plus, mes ambitions sont interdites, mon futur s'effrite,
mes droits me quittent, vite fait. J'ai compris que l'éthique et l'équité n'étaient pas les mêmes selon ta provenances et ta te-tê, ton compte en banque, a culture,
ton langage, ta religion, tout ce qui nous divise est bon pour cette nation.
Donc vois, voilà ce qu'il ne faut pas faire : on se nique entre nous, l'Etat, lui, fait ses affaires, il n'aime pas notre unité, il n'aime pas nos différences.
Soyons tous différents et unis, les conséquences se verront, ça paiera ou sinon ça pètera. De toute façon, réaction ! On ne peut plus baisser les bras comme ça, gars.
Assez sait, qui ne sait, si se taire sait. Toute extrémité est vice, frère.
La lumière poursuit l'aveugle, destin amer. Je cherche le Bien mais je m'attends au Mal., je flaire Lucifer sur terre. Ce que réserve le fou pour la fin.
Entêté. La vérité n'est pas montrée nue, mais en chemise. Plus on sait, moins on affirme. Pour te servir. Freeman avec sa firme.
Vos mères, Vos mères, vos mères , vos mères ...
Je commence quand la France défonce des églises à coups de hache.
- Leur mère - Comment tu veux que je respecte tes lois, ton drapeau,
ton Etat, alors que tu ne respectes même pas Dieu ! Au sein du pays du pays, du vin, du Boursin, j'suis pas blond, je nique la hala et j'ai pas les yeux bleus, non !
Mais comme eux je bouffe des pâtes et j'éclate même leur rates, Exact !
Certains diront je m'en fous de vos trucs, de vos lois, contre-lois, manifestations. Bande de bidons ! C'est pas un morceau de rappeur qui fera peur, Mais on peut quand même engrener, engrener, engrener. Allons enfants dans cette saloperie !
Bougez vos fions, question ! Ca parle de révolution. Prendras-tu des munitions ? Beaucoup jouent les hardis, pardi, et ne veulent pas mourir ! Alors, vas-y toi, dis-moi comment tu veux le paradis...